mercredi 12 janvier 2011

Work-Shop édition (Démo)


Travail réalisé dans le cadre du Work-Shop ''édition'' spécialisé dans la démo, avec l'accompagnement d'Etienne Cliquet.

Mon projet tout d'abord consistait en la création d'un ''jeu'' composé essentiellement de documents imbriqués les uns dans les autres. Un labyrinthe, ou un enfer plus organisé de ce qui nous rappellera l'expérience commune de la recherche interminable d'un fichier parmi un fouillis de dossiers...

Cette vidéo qui de prime à bord peu laisser le spectateur perplexe pas son manque de sens apparent se dévoile au fur et à mesure comme le jeux que je construit. Des documents qui se succèdent, débouchent sur des impasses ou des indices, pour aider ou induire en erreur l'éventuel ''joueur''. Ce jeu en effet n'est pas qu'un simple invention afin de répondre à un sujet, à créer une démo, mais existe bel et bien en tant que tel.

Bâtis d'éléments basiques que sont les documents et des fichiers (ici photoshop, pour répondre à un soucis de visibilité des autres dossiers, qui donnent plus de présence dans la vidéo à mon gout, même si je prend conscience que peut-être des fichier de traitement de texte sont beaucoup plus accessibles) mon jeu se développe dans un espace vide, un espace vierge qui sera l'origine d'une arborescence peut-être invisible mais sensible.

Je trouvais intéressant en temps que fond sonore d'accompagner ma démo de bruits de touches de clavier et de clicks de souris qui répondent à cette univers de construction informatique et fond partis intégrante de ce processus de fabrication. Et également le son de présences autour de moi, de cette vidéo, une manière d'accompagner l'étrangeté apparente de cette univers en construction et de jouer sur le temps, accéléré, qui donne à voir une danse des documents, une floraison de fichier et des branches de mon labyrinthe.

dimanche 2 janvier 2011

L'image des mots









''Au hasard Baltazar'' la première expression que je tente de travailler.
Pour cela, un point, une cible, et une typographie droite et effilée afin de se fondre dans la géométrie et la finesse ambiante.
Qui est victime de ce danger que l'on peut deviner? Mystère. Nous n'en savons pas plus que l'identité de ce Baltazar, s'il en défini une.








Toujours pour la même expression, une multiplication des cibles, arborées de couleurs discrètes. Le hasard ne met plus en valeur la victime éventuelle, qui n'existe plus (plus de point) mais l'augmentation des chance du tir, si tir il y a. Les cibles se transforment par multiplication, ajout de couleur et variantes des diamètres en objets plus graphique que narratifs. L'image en devient beaucoup plus dynamique.








Même idée mais avec une typographie plus stricte, plus droite, mais plus présente de pars sa lourdeur qui contraste avec la finesse des autres formes.










En négatif, pour donner un impact différent. (avec mon premier choix typographique)








Deuxième expression: ''contre les sens interdits''. Jeux avec les contrastes noirs et blancs et les formes pour mettre en valeur l'image et le texte.















Même idée avec un autres effets typographique, donnant de la profondeur.